Son audio de la parasha Vayikra.
Une offrande de reconnaissance.
Une offrande de reconnaissance.
Résumé de la parasha Vayikra.
Dieu s’adresse à Moïse de la Tente d’assignation pour lui communiquer les lois régissant les offrandes apportées au Sanctuaire. Elles comprennent :
– L’holocauste (olah) qui, après son abattage, est entièrement consumé sur l’Autel, odeur agréable à l’Eternel .
– L’oblation (min’ha), offrande de fleur de farine, d’huile et d’encens, dont il existe cinq sortes.
– Le sacrifice de paix (chelamim) dont la viande est consommée par celui qui l’apporte après que certaines parties en ont été brûlées sur l’Autel et d’autres, données aux Cohanim, (les prêtres).
– Les sacrifices d’expiations (‘hatat) des fautes commises par le Grand Cohanim, par la communauté toute entière, par le Roi, ou par un particulier.
- Le sacrifice de culpabilité (acham) qu’apportent notamment celui qui détourne de leur usage des biens du sanctuaire, celui qui est en situation de doute quant à une transgression qu’il a pu commettre ou encore celui qui a commis une trahison envers Dieu.
- La parasha Vayikra reste problématique pour notre temps, sans temple terrestre.
Mais comme chaque mot de la Torah s’actualise selon la science de Dieu, cette parasha sur les offrandes nous parle toujours.
Il est bien connu que chacun des mots de la Torah possède plusieurs niveaux de signification.
Les mots hébreux pour: offrir et sacrifice (yakriv/ korban) signifient également : « rapprocher ».
Donc si la parasha commence par: « Si quelqu’un d’entre vous veut présenter au Seigneur une offrande.
Peut se lire comme ceci:
Si quelqu’un d’entre vous veut se rapprocher du Seigneur.
Alors le sens de rapprocher nous indique ici que se rapprocher veut dire: s’offrir à Dieu .
S’offrir soi-même signifie que l’on donne de son temps, de son énergie, de son argent, de son confort.
Donner un sens à sa vie pour se rapprocher de Dieu.
Beaucoup de chemin mène à Dieu mais un seul conduit à la vérité.
Yeshoua dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Personne ne vient au Père que par moi.
Dans la vie on peut se tromper, ou induit en erreur pour trouver la voie qui mène à Dieu.
Chacun a son propre chemin avec son lots d’erreurs.
Mais c’est seulement avec un coeur sincère que l’on peut se rapprocher de Dieu en offrant nos prières, nos pardons, nos engagements, et en reconnaissant nos erreurs que l’on peut avancer sereinement vers Dieu.
C’est cela le sens de cette parasha avec ses divers offrandes. Prières, pardon, engagements, reconnaître ses torts, s’humilier, et faire ce qu’il faut pour réparer.
Toutes ses offrandes pour se remettre en question, sur nos erreurs du passé et d’aujourd’hui.
Romains 12; 1,2.
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.
Le texte fait référence à l’enseignement dont il faut parfois reconnaître que ce n’était pas vraiment le bon que l’on a suivi.
Une direction religieuse fabriquée par des hommes, dont il faut se défaire.
Même si on était sûr d’être dans la bonne religion. Si Dieu nous conduit vers un nouveau chemin, il faut comprendre que l’âme évolue et qu’il est temps d’avancer vers la direction que Dieu nous montre.
Les religions sont des ensembles de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
Les religions sont des attitudes sociales pour chaque milieu dans lequel on évolue.
Les religions donnent le moyen de croire que l’on existe en appartenant à un milieu ou nos convictions reflètent notre état d’âme.
Les religions sont des liens dont il faut se défaire.
La religion est un fauteuil de velours pour les coeurs de pierre.
La religion enferme l’esprit.
Marc; 7; 7.
Yeshoua leur répondit: Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé sur vous, ainsi qu’il est écrit: Ce peuple m’honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, En donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes.…
-Le seul enseignement que l’on doit suivre c’est l’enseignement qui conduit le peuple vers la Ville Sainte, vers la terre d’Israël.
Un enseignement qui conduit le peuple vers la Jérusalem céleste, dont les fondations sont la Torah.
-Celui qui enseigne sans conduire les croyants vers la Ville Sainte, la Jérusalem céleste est un faux prophète.
Hébreux:10; 5,8.
C’est pourquoi le Messie, entrant dans le monde, dit: Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, Mais tu m’as formé un corps;
Tu n’as agréé ni holocaustes ni sacrifices pour le péché.
Alors j’ai dit: Voici, je viens Dans le rouleau du livre il est question de moi Pour faire, O Dieu, ta volonté.
Après avoir dit d’abord: Tu n’as voulu et tu n’as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu’on offre selon la loi,
Notre texte dans la parasha précise:
« Quand vous offrez votre offrande qu’elle soit garnie de sel ».
Le sel nous apprend.
Le sel c’est la connaissance sans raisonnement humain.
C’est-à-dire un esprit sans trop de science, ni de complication intellectuelle.
Car si on met trop de sel, (trop de science) ce savoir perd de sa saveur, car quand on met trop de sel le plat devient immangeable.
Un peu de connaissance biblique et beaucoup d’Esprit suffit pour s’approcher de Dieu.
Un peu de connaissance et beaucoup d’offrandes de prières, de reconnaissance envers Dieu car il nous à donner Son fils pour nous sauver.
Car beaucoup de scientifiques s’opposent à Dieu, car voulant prouver l’existence de Dieu, ils s’en éloignent par leur excès de Sel.
Le sel c’est la conviction qui vient du coeur.
L’excès de sel conduit à la mort.
La femme de Loth est parti sans conviction et à tourné son regard sur ses valeurs anciennes, ses convictions familiales, elle est devenu une statue de sel.
Mais le sel a aussi la propriété d’assainir, de nettoyer, de désinfecter, d’enlever le mauvais.
Cet abus de sel qui est la science de la religion des hommes.
La science est bonne mais à très faible dose.
La science sans la conscience n’est que mort de l’âme.
L’intelligent n’est pas celui qui a la science, mais c’est celui qui a l’Esprit, car l’intelligent n’est qu’un insensé aux yeux de Dieu, c’est un bloc de sel un excès de science il en oublie le sens de sa vie.
L’Esprit de Yeshoua nous dose ce sel qui rend notre conscience intelligente.
Colossiens 4;6.
Que votre parole soit toujours assaisonnée de sel avec grâce, afin que vous sachiez comment vous avez à répondre à chacun.
Ce sel qui nous donne la conviction et la sagesse bien dosé quand nous parlons du véritable temple que nous formons en Yeshoua.
Nos offrandes ne sont que nos prières et nos actions de grâces, nos bonnes oeuvres envers Dieu.
Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice d’adoration, c’est-à-dire le fruit de nos lèvres qui confessent son nom.
Yeshoua Le Messie.
Psaume 119; 108.
Agrée, ô Eternel! les sentiments que ma bouche exprime, Et enseigne-moi tes lois!
Jérémie; 33; 11.
Les cris de réjouissance et les cris d’allégresse, les chants du fiancé et les chants de la fiancée. La voix de ceux qui disent: Louez l’Eternel des armées, car l’Eternel est bon, car sa miséricorde dure à toujours! La voix de ceux qui offrent des sacrifices d’actions de grâces dans la maison de l’Eternel. Car je ramènerai les captifs du pays, je les rétablirai comme autrefois, dit l’Eternel.
-La véritable offrande c’est d’offrir notre vie à Yeshoua comme un sacrifice de reconnaissance envers Lui qui à offert sa vie en véritable, Holocauste, oblation, Sacrifice pour que nous ayons part à son temple éternellement.
1 Pierre 2 ; 5.
Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu; et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d’offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Yeshoua Le Messie.
L’Esprit de la Torah c’est la réunion des familles formant le corps et le milieu nourricier dans lequel on s’instruit.
L’Esprit de Dieu nous place à l’endroit où le Maître a choisi pour nous enseigner les bases fondamentales de la Torah dont Yeshoua est sorti de ce rouleau pour nous rapprocher de Lui par nos repentances, nos prières, nos pardons.
Car aucunes autres offrandes n’est plus agréable à Dieu si ce n’est la louange que nous faisons à Yeshoua dans nos prières.
La prière de reconnaissance pour lui dire Merci d’être venu dans notre vie pour nous sauver.
Offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit de nos lèvres qui confessent son Nom Yeshoua le Messie.
La seule offrande qui soit agréable à Dieu est une offrande de reconnaissance.
Shabbat shalom
L.B
Lecture messianique:
Hébreux: 10: 1 à 39.
Lecture de la parasha : Lévitique: Chapitre 1 verset 1 à chapitre 5 verset 26.
Lecture de la haftarah: Esaïe: Chapitre: 43 verset 21 à chapitre 44 verset 23.