Parasha Émor.


Samedi 18 Mai 2024.

Embarquement immédiat.

Embarquement immédiat.

La parasha Émor énonce les directives qui mêne à bon port.

L’Eternel s’adresse au Cohen chargé de transmettre le journal de bord qui mène le peuple vers  sa destination finale.

Le texte navigue autour des principaux arguments de sainteté que doit avoir le maître d’équipage qui dirige le peuple. 

 Car celui qui dirige le peuple doit être un exemple pour tous.

Un exemple à suivre.

Notre grand Cohen c’est Le Messie Yeshoua.

 Il est un modèle qui doit être comme le pilote de nos vies.

Yeshoua est venu s’incarner en homme pour être semblable à nous, il est la représentation de ce que devrait être la vie d’un croyant.

Il est venu vers nous, alors que nous étions pécheurs.

Lui qui est Saint, Il nous à montré l’exemple, qu’il est possible pour nous de devenir saint même dans  ce monde pollué.

Le premier des paramètres du texte de notre parasha est une interdiction de s’approcher d’un cadavre.

Les morts sont ceux qui sont restés à quai, ceux qui ne font pas partie des passagers embarqués sur le sept-mat. Celui qui est sans Dieu est mort. La vie c’est Dieu qui la donne.

N’allons pas nous mélanger avec les morts, ceux qui dirigent des pavillons blasphémant  le Nom de Dieu.

Yeshoua nous enseigne à distinguer ce qui est profane de ce qui est Saint.

Le monde à blasphémé le Nom de Yeshoua.  Ce qui est profane ce n’est pas seulement d’avoir changé le Nom du  Messie  Yeshoua en Jésus, mais c’est d’en avoir fait un modèle chrétien organisé par le vatican.

C’est simple ils font exactement le contraire de ce que les écritures enseignent.

Ne vous faites pas des images sculptées des saints, ils n’y a que des images sculptées dans ces églises.  

Ne vous faites pas d’objets représentant des divinités, ils se font des croix de crucifixions. 

Ne vous faites pas appeler Père, ils se font appeler mon Père.

Ne vous tondez pas le rond de la tête, ils se tondent le rond de la tête.

Ne vous coupez pas les extrémités de la barbe, ils se rasent complètement la barbe.

Ne profanez pas le pain du shabbat, ils servent des hosties le dimanche.

Ne changez pas le jour du shabbat qui est le samedi, ils l’ont changé par le dimanche.

Ne changez pas les fêtes de Dieu, ils ont changé toutes les fêtes.

 Et cela c’est produit durant des siècles avec toutes sortes de soeur de ce genre de religions et en plus chacune en a rajouté à sa pleine cargaison.

Cette parasha agit comme un balisage qui envoie des signaux, des bouées de sauvetage à ceux qui se noient dans les flots des mers agités, de son âme tourmentée qui cherche la vérité.

La vérité n’est pas dans les cultes religieux issus du christianisme car elle fait échouer un grand nombre de croyants qui sont sincères, mais mal orientés, déboussolés, suivant les vents de la tendance qui plait aux gens, aux jeunes qui aiment les musiques qui ressemble à des concerts de Rocks. 

La parasha Émor nous ramène sur la rive, afin de ne pas oublier que le Service de Dieu ne peut se faire sans un ordre biblique authentique, établie pour le bon fonctionnement, les lois ne sont pas là pour contraindre, mais pour ouvrir un canal de vie, un itinéraire qui permet d’atteindre l’intimité de Dieu et de nous rendre libre.

Elle nous ramène aux sources de la Création et des écritures. 

Sortir de ces lois c’est comme jeter une ancre au fond de l’eau et rester bloqué dans notre élan de foi.

Émor nous aide à comprendre que la sainteté, la purification, la guérison, ne doivent pas être appréhendées par la foi, mais comprises à la lumière d’un processus spirituel qui se fait par nos actions de foi, en exécutant les ordres établies par Dieu. Et ce, dans le but d’une transmission. Car lorsque Dieu dit, Il crée un ordre, et Il promet, dans le but d’un accomplissement avec l’homme.

Ce que veut nous dire la parasha Émor  c’est que nous devons  nous construire une identité en Mashia’h.

Car si notre texte semble ne s’adresser qu’aux sacrificateurs, il en est que nous sommes tous sacrificateurs en Yeshoua  comme le texte nous le dit : «Il a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles.

Une identité semblable à celui qui nous a sauvé de la mort.

Tellement identique que notre âme devient une lumière que le monde voit. Un phare qui brille dans la nuit pour guider ceux qui sont en périls. 

L’identité du Messie Yeshoua elle se façonne avec les lois.

La Torah c’est notre journal de bord, aux grés des vents et des tempêtes elle nous ramène toujours à notre port d’attache.

La Torah c’est notre gouvernail qui nous mène vers la bonne direction. 

La Torah est notre boussole, notre carte marine qui nous fait faire escale à chaque shabbat chaque semaine, et nous débarque  durant toute  l’année vers les sept fêtes qui sont les rendez-vous avec Dieu.

C’est cela l’identité Messianique. 

Il s’appelle Yeshoua, Il est Juif, Il fait shabbat, Il fait les 7 fêtes juives.

Nous sommes l’âme de Yeshoua si nous faisons comme lui.

Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même.

Si nous marchons comme ces chrétiens qui se revendique de ce jésus sans shabbat et sans fêtes, nous sommes à l’identité de ce faux messie et nous sommes morts, c’est cela la parasha Emor , ne vous souillez pas avec les morts spirituels, sortez de ces cimetières.

 Et quel juif écouteras un discours d’un Messie sans Torah. 

 Ce juif là ne verra que blasphème du nom de Dieu.

Quel juif voudra entrer dans ce genre d’église sans shabbat sans fêtes.

Horreur et abomination du Nom de Dieu. Alors que la bible enseigne très clairement qu’il faut premièrement aller prêcher la bonne nouvelle messianique aux juifs. Quel juif reconnaîtra son Messie s’Il est déshonoré par les fêtes catholiques Pentecôte du diable et autres souillures de ce week-end.

Nous devons être ces hommes et femmes d’équipage qui doivent aller vers la maison d’Israël. 

Romains; 10; 15

Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés? selon qu’il est écrit: Qu’ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, De ceux qui annoncent de bonnes nouvelles!

Esaïe 52; 6, 7.

C’est pourquoi mon peuple connaîtra mon nom; C’est pourquoi il saura, en ce jour, Que c’est moi qui parle: me voici!

Cette parasha nous appareille pour faire route vers l’océan d’amour que Yeshoua nous donne.

Il lève les voiles de nos erreurs et, en une vitesse de croisière, nous retire des grandes eaux pour nous mettre sur la rive du repos.

Il nous enseigne la vie de la sainteté, il nous apprend à distinguer ce qui est de Dieu et ce qui est une imitation de Dieu.

Il nous faut sortir de ce genre de lieux qui font mourir les gens, qui croient être dans la vérité des beaux discours, mais qui sont en fait  des cimetières en train de faire agoniser les âmes fragiles,  ils sont des sépulcres blanchis. Des chaloupes qui coulent et font faire naufrage à des millions de personnes, qui nagent dans l’ignorance.

Cette parasha est une remise en question de notre identité spirituelle.

Si nous sommes dans le Messie nous somme embarqués avec lui sur le même bateau. 

 Et si notre coeur est sincère, nous cherchons la vérité et pas l’amitié des gens, la fraternité existante des lieux religieux, mais nous cherchons plutôt à  nous isoler vers Dieu pour qu’Il vienne nous parler, afin de garder le cap et qu’on puisse accoster en sécurité dans les berges de son royaume.

Car ce qui compte c’est que l’on hisse le drapeau, la bannière qui porte le Nom de Yeshoua le Fils d’Adonaï.

Shabbat shalom

L . B 

Lecture de la parasha : Lévitique : Chapitre 21 verset 1 à chapitre 24  verset 23.

Lecture de la haftarah : Ezéchiel : Chapitre : 44 verset 15 à 31.

Lecture messianique : Mathieu: Chapitre: 5 verset 38,42. Galates: Chapitre: 3 verset  26 ,29.


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